Qu'est-ce que NōzAmi et comment fonctionne t'il ?

Le rôle du nez

Les fonctions principales du nez sont d'humidifier, de réchauffer et de filtrer l'air inspiré avant qu'il n'atteigne les poumons. Que la température ambiante soit de 37 °C à l'ombre ou de -17 °C et sans tenir compte de l'humidité relative, l'air qui pénètrera finalement dans les poumons aura une température proche de celle du corps, une humidité relative de 98% et aura été filtré de la plupart de ses particules et polluants chimiques.

Muqueuse Nasale

Le nez est couvert par une membrane muqueuse complexe. La surface active de cette membrane - où les fonctions principales du nez ont lieu, est élargie significativement par l'anatomie irrégulière des parois nasales (cornets, méats, septum nasaux, etc...).

La muqueuse est très richement irriguée en sang, qui lui amène la chaleur et l'énergie nécessaire pour fonctionner.

Une variété de cellules actives sont présentes dans l'épithélium respiratoire. Les glandes séreuses produisent et amènent à la surface une sécrétion aqueuse riche en protéines qui, entre autres, a des propriétés anti-infectieuses. Les glandes muqueuses et les cellules caliciformes produisent un liquide gluant et semi-collant qui lubrifie et piège les particules et les polluants chimiques. Ces cellules épithéliales pseudo-stratifiées de l'épithélium ont des cils à leur surface. Ceux-ci sont des poils fins de taille microscopique qui, bougeant en formation comme une vague, déplacent le tapis de mucus du nez hors des sinus et dans la cavité nasale, puis du nez au pharynx nasal, ensuite au larynx et finalement dans l'œsophage jusqu'à l'estomac. Dans l'appareil digestif, le mucus et tout ce qu'il contient est digéré, neutralisé, recyclé et/ou éliminé. En un jour normal, les glandes nasales produisent une quantité très significative de mucus.

La sécheresse désactive le transport ciliaire. Ceci a pour conséquence que le mucus devient collant et s'épaissit, le tout s'accompagnant de membranes croûtées, craquelées ou irritées, d'écoulements sanglants, d'encroûtement nasal, de nez qui coule, etc... L'inconfort qui en résulte est familier à tous ceux qui en sont affectés régulièrement, surtout pendant les mois d'hiver froids et secs.

Une muqueuse nasale ayant perdu ses capacités de réchauffement ou de refroidissement de l'air inspiré peut être nuisible aux poumons.

Le passage du mucus à travers la gorge est d'habitude une fonction parfaitement normale. Les glandes du système respiratoire supérieur en produisent un écoulement constant. Quand le mucus est fluide, son passage est anodin. En revanche, lorsqu'il est sec et collant, son passage provoque un sentiment désagréable.

La sécheresse de la paroi nasale (muqueuse) se traduit en général par des canaux nasaux enflammés, secs et encroûtés, et peut être l'effet de toute une série de causes, dont :

  • Les particules et polluants chimiques présents dans l'air respiré
  • Les environnements secs ou arides, qu'ils le soient naturellement ou comme une conséquence du chauffage ou de la climatisation intérieure
  • Un long trajet en avion ou la vie en altitude
  • L'utilisation par voie nasale de certains produits (particulièrement stéroïdes) pour les traitements antiallergiques
  • L'utilisation de produits inhalés tels que les vaporisateurs de stéroïdes à base d'huile (exemple ACCUTANE utilisé contre l'acné)
  • Pendant et après un rhume ou une infection des sinus
  • L'équipement utilisé pour traiter le ronflement et l'apnée du sommeil
  • L'oxygénothérapie, surtout administrée via canule nasale
  • Une conséquence naturelle du vieillissement
  • Les suites d'une chirurgie nasale (voyez votre médecin avant utilisation)

Ce schéma [Figure 1] montre les vues latérale et coronale du nez ainsi qu'un agrandissement de la surface où se situent les fonctions principales de la muqueuse. On voit également une version simplifiée des composants de la muqueuse.


Ce schéma [Figure 2] montre en détail les os du nez, la couche sous la muqueuse richement irrigués de sang et de nerfs, ainsi que l'épithélium respiratoire contenant les différentes cellules actives. Par dessus se trouve la couche muqueuse et les cils qui amènent le mucus à destination. Les flèches du haut représentent l'air froid et sec passant à la surface de ce système, se réchauffant et s'humidifiant. Les différents points de couleur représentent les polluants de l'air inspiré en cours de filtration.

Il a été cliniquement prouvé que NōzAmi offre un soulagement efficace de la gêne causée par la sécheresse des passages nasaux.

Les origines des effets thérapeutiques de l'huile de sésame

Le mécanisme naturel de transport à l'intérieur du nez distribue dans toute la cavité nasale une fine pellicule d'huile de sésame, avec ses composants naturels antibactériens, antifongiques, antiviraux et anti-inflammatoires (Vitamine E, Sésaminol et Sésamolinol). Bien que le plein effet thérapeutique soit généralement atteint en 4 à 7 jours (voir ci-dessous), un premier soulagement de la muqueuse sèche, encroûtée ou irritée peut être ressenti presque immédiatement. Une utilisation quotidienne pendant 7 à 14 jours permet un rééquilibrage du niveau d'humidité de la cavité nasale, résultant en un niveau de confort typiquement 3 à 4 fois supérieur à celui procuré par les solutions salines isotoniques et les vaporisateurs sur la même période (voir ci-dessous). Une fois que le niveau de confort aura été restauré (en à peu près 2 semaines), une utilisation continue de NōzAmi autant que de besoin offrira un soulagement constant de l'inconfort causé par la sécheresse et l'encombrement des passages nasaux.

NōzAmi par rapport aux solutions/vaporisateurs salins

Ces dernières années, un nombre croissant d'individus souffrant d'inconforts liés à la sécheresse, à l'encroûtement ou à l'irritation de leurs passages nasaux, se sont tournés vers les vaporisateurs ou gels salins isotoniques pour les soulager. C'est pourquoi il est intéressant de comparer l'efficacité de l'huile de sésame à celle des vaporisateurs de solutions salines isotoniques. À cet effet, une équipe de chercheurs médicaux ont réalisé une série d'études cliniques conçues spécifiquement pour traiter cette question. Leurs résultats (voir ci-dessous) montrent que l'huile de sésame procure un niveau de soulagement de la gêne associée à la sécheresse des passages nasaux typiquement 3 à 4 fois supérieur à celui obtenu avec les vaporisateurs salins.

Sécheresse nasale

Les résultats de la première étude montrent que le niveau de sécheresse des passages nasaux chez les individus utilisant l'huile de sésame sur une période de 14 jours décroît de 45%, alors que ceux qui utilisent une solution saline isotonique ou un vaporisateur sur la même période rapportent une baisse de leur inconfort de 13%.

Nez bouché

Une seconde étude a été conduite par ces mêmes chercheurs pour établir une comparaison de l'efficacité de l'huile de sésame par rapport à celle d'un vaporisateur isotonique salin pour soulager la gène causée par le nez bouché. Les résultats montrent que la réduction du nez bouché est typiquement de 42% chez les individus utilisant l'huile de sésame après deux semaines alors qu'elle est de 7% chez ceux qui utilisent un vaporisateur isotonique pendant la même période.

Croûtes nasales

Enfin, dans une troisième étude, ces mêmes chercheurs ont trouvé que le niveau de gêne causé par l'encroûtement nasal diminue de 52% chez les individus utilisant l'huile de sésame pendant une période de 14 jours, tandis que chez ceux qui utilisent une solution isotonique saline ou un vaporisateur sur la même période ne rapportent qu'une baisse de leur gêne de 5%.


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